Le diable, auteur de toutes les maladies

J’ai longtemps été de ceux qui disaient « Les sorciers se reposent aussi ! Ne mettez pas tout sur leur dos ! Toute maladie ne vient pas du diable ! Tu peux être malade parce que tu as pris un microbe quelque part c’est tout ! » 

Mais aujourd’hui, j’ai compris la place que le diable a sur cette terre, le pouvoir qu’il a et j’ai surtout compris qu’il n’y a pas de hasard dans la vie. Hasard, providence, chance sont des notions inventées par les hommes. Tout ceci n’est en réalité que grâce du Seigneur. Mais revenons à notre sujet !
Alors, beaucoup trouvent qu’il est facile d’accuser les sorciers que moi j’appelle aussi le diable parce qu’ils sont aussi ses suppôts mais en réalité lorsqu’on se réfère à la Parole qui est la base de toute vérité, on comprend et on réalise qu’en réalité c’est le diable qui nous envoie des maladies.

Illustrations :
- Job : il est écrit que satan s’est rendu à un conseil que Dieu tenaient avec ses anges et Dieu lui demanda d’où il venait. Celui-ci lui répondit qu’il venait de faire un tour du monde. Alors Dieu lui demanda s’il avait remarqué son serviteur Job et énuméra les qualités de Job qui Le craignait en tout point mais Satan voulant casser l’opinion de Dieu sur son serviteur lui affirma que si Job était attaqué, il renoncerait à tous ses biens pour sauver sa vie. Alors, le Seigneur livra Job à satan en disant « Il est en ton pouvoir mais épargne sa vie. » « Alors satan se retira de la présence de l’Eternel et infligea à Job une douloureuse maladie qui s’étendit de la plante des pieds jusqu’au crâne. » passage de Job 2, 1-7.
- La femme bossue : cette histoire se passe dans Luc 13, 10-16. Il est écrit que Jésus enseignant dans une synagogue a vu une femme bossue depuis 18 ans. Lorsqu’il la guérit, le chef de la synagogue se fâcha et dit au Seigneur qu’il ne devait pas faire de guérison le jour du sabbat. Le Seigneur lui répondit ceci : « Hypocrites que vous êtes !(…) et cette femme (…) que Satan tenait en son pouvoir depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de sa chaine aujourd’hui (…) »
- Paul : grand serviteur devant l’Eternel affirme lui-même dans son épitre aux corinthiens que Dieu pour le garder de l’orgueil lui a imposé une épreuve durant tout son ministère et il dit « Elle me vient de satan qui a été chargé de me frapper pour que je ne sois pas rempli d’orgueil. » Son infirmité n’est pas située mais un passage de la bible (Gal 4, 14-15) laisse penser qu’il s’agit d’un problème aux yeux. 

Tous ces exemples nous démontrent clairement que la maladie vient du diable et lorsque nous sommes malades, ce qui veut dire que Dieu nous a envoyé une épreuve et a donc autorisé satan à nous toucher car celui-ci ne peut rien faire sans l’autorisation de Dieu qui détient tout pouvoir sur la terre et dans le ciel, nous devons comprendre que c’est une situation qui doit augmenter, développer, booster notre foi en Dieu, qui doit réveiller en nous la manifestation de l’Esprit de Dieu. Le prochain passage explique ce que je dis. Actes 10,38 : « Ensuite, Dieu oint Jésus de Nazareth en répandant sur lui la puissance du Saint-Esprit. Celui-ci a parcouru le pays en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient tombés sous le pouvoir du diable, car Dieu était avec lui. »
La solution nous est donnée… Nous obtenons la guérison par notre foi en Jésus, foi qui manifeste la puissance de l’Esprit en nous. Nous obtenons la guérison par la prière de foi que nous élevons au Père par le nom de Jésus, par la proclamation de la souveraineté de Jésus sur les forces du mal, par notre liaison directe à Jésus à travers le St Esprit qui habite en nous, par la lumière éblouissante de Jésus qui habite en nous et fait de nous des lumières dans ce monde. Et les ténèbres ne pouvant subsister à la lumière ne peuvent que disparaitre. Alléluia ! 
Mais attention, la guérison par la foi ne peut s’obtenir avec une foi vacillante et fébrile. Si nous émettons un quelconque doute sur la prière de guérison que nous élevons, nous ébranlons notre foi. Si nous voulons guérir par la foi, nous tenons tenir ferme devant l’amplification des douleurs, devant la durée de la maladie et autre adversité qui pourrait s’élever devant nous. Si nous savons que nous n’avons pas encore atteint ce niveau de foi, qui n'est d'ailleurs pas facile à atteindre, prenons nos médicaments tranquillement, le Seigneur ne nous en voudra pas pour ça ! Amen ?